Un général en civil ... [Lior, quiconque veut s'incruster peut]

Les rues de Pandoris étaient affolées, comme à leur habitude. Parmi la foule de Raitens et de piétons qui se bousculaient, s'interpellaient et se hélaient en un boucan pas possible, une jeune femme se détachait singulièrement du lot. Les bras chargés de nombreux paquets, le Général Mendeliev goûtait la chaleur printanière. Il était rare qu'elle puisse en profiter, maintenant. Le boulot l'attendait toujours par paquets, que ce soit des rapports à étudier, des stratégies à préparer, des entraînements à superviser... Elle n'avait aucune seconde de temps libre. Mais en raison de son départ, les jours prochains, vers Lumière d'Estha, Kuro lui avait "gentiment" accordé une journée de répit, pour qu'elle se prépare à "ce grand choc", dixit-il. Il n'avait pas totalement tort. Sa haine envers les mages, renforcée par leur attaque dont elle avait observé les traces il y a tout juste dix minutes, avait pour cause de redouter totalement ce séjour forcé dans leurs terres. En attendant, elle était bien contente de rester à Pandoris.

Elle n'avait pas fait de grasse matinée -à quoi bon ?-, et s'était levée aux aurores. Là, n'ayant pas besoin de petit-déjeuner, elle avait réveillé brutalement Allia pour faire quelques passes d'armes avec elle. Il lui était inconcevable de passer une journée sans combattre. Puis, elle avait quitté à regret son uniforme de l'armée Delnarienne, trop voyant dans une foule, pour une chemise blanche et un pantalon noir. Elle n'avait cependant pas abandonné ses bottes de combat. Cheveux lâchés -ce qui signifiait qu'elle n'avait aucune intention de se charger de ses fonctions-, elle avait quitté les casernes en saluant quelques soldats au passages qui n'en revenaient pas, avant de prendre Stralvaria et de se diriger vers le centre ville.

Après avoir bavé pendant une demi-heure sur un nouveau modèle d'épée ultra performant, elle se retrouvait enfin dans l'avenue principale de Pandoris, ne sachant plus trop quoi faire. Contrairement aux autres femmes, elle n'aimait pas trop faire les boutiques, sauf quand il s'agissait d'armes. Elle ne pouvait pas aller se soûler car l'alcool n'avait aucun effet sur son corps de Nephen. Et Leika n'avait pas d'amis avec qui faire la fête. Seulement des gens qui l'idôlatraient sans chercher à la connaître. Elle avait dû serrer un nombre inimaginable de mains et poser avec des gens dont elle ne se rappelait plus le visage. Même si maintenant, son air buté les dissuadait de l'approcher, leurs regards pesaient sur elle.
Se maudissant d'être général et de ne pas avoir besoin d'escorte pour faire baisser la tête à tous ces curieux, Leika continuait son chemin.

Ses pas la conduisirent aux abords d'une grande place, emplie de plusieurs étals colorés. Distraitement, elle s'assit sur un banc et posa ses paquets. Ses achats étaient des "cadeaux" pour des officiers de son armée. Des cadeaux dont une balle pouvait tuer.
Son attention fut immédiatement attirée par un jeune garçon aux cheveux châtains. Elle le connaissait ! Elle le voyait souvent en train de discuter avec son patron. Comment s'appelait t-il déjà....Loir..Lrior...Lior ?
Le visage de Leika s'assombrit. C'était Lior Shikamasu, et il faisait partie de la famille impériale. Pourquoi donc était-il ici ?

Lior s’était levé comme à son habitude grâce aux rayons qui filtraient par sa fenêtre. Il avait enfilé ses vêtements rapidement afin de ne pas être en retard à une entrevue avec son Kuro. Il arriva avec cinq minutes d’avance au lieu de rendez-vous et tomba sur son frère qui discutait de son prochain voyage diplomatique. Le jeune prince avait écouté d’une oreille attentive puis avait discuté avec son frère de tout et de rien mais surtout de son futur voyage. L’adolescent tenant absolument a accompagné l’empereur pour voir de nouvelles têtes de mages mais pour l’instant il avait toujours eut le droit à un non catégorique.

Après son petit-déjeuner, d’une humeur amer, il avait enfilé une cape rapidement et en sortant, il avait sifflé Vik pour qu’il l’accompagne lors d’une de ses sorties secrètes en ville. En sortant du palais, il avait rabattus son capuchon sur sa tête pour essayez de passer incognito dans la capital mais aussi éviter de se faire prendre par les gardes chargé de sa « sécurité » qui équivoquait plutôt à une surveillance. Une fois dehors, il laissa ses pieds se diriger où ils le souhaitaient.

Au bout d’un moment, il s’aperçut, qu’il était sur une grande place qu’il ne connaissait pas. Caressant paisiblement son loup sans avoir peur pour la suite étant donné qu’il savait qu’il pourrait retrouver son chemin plus ou moins rapidement suivant la solution pour laquelle il optait. Il traversa donc la place d’un pas assuré quand un coup de vent souleva son capuchon à son grand mécontentement. Il n’eut pas le temps de le rabattre qu’il sentit le regard de quelqu’un sur lui. Il se retourna vers la personne et reconnut un général de son frère ce qu’il le poussa à rabattre rapidement son capuchon. *Et flûte ! Vive la discrétion, j’espère qu’il ne pas reconnus.*

Hélas, pendant que le jeune homme se soucier du général, il ne vit pas une autre personne s’approchait de lui. La présence de cette menace ne lui apparut que quand il sentit une lame dans son dos et un ordre bref de se diriger dans une rue adjacente. Se mordant la lèvre, il se mit doucement à marcher remarquant que son familier était partit droit vers le général pour le prévenir. Quel imbécile, il faisait. L’animal avait certainement essayé de le prévenir mais il n’avait pas fait attention. Du coup, il se retrouvait dans une rue sombre avec juste sa lame qui ne lui servirait à rien vu l’exiguïté des lieux, son diffuseur non plus il risquait de mourir en même temps que son agresseur tant qu’à à sa canne, il l’avait laissé dans sa chambre pour évité de se faire reconnaître. Enfin, il n’était pas pour autant dépayser, il tissa doucement une toile de sécurité autour de lui afin de ne pas prendre trop de coup au moment où il passerait à l’attaque…

Aucun doute, c'était bien le petit frère à Kuro. Leika ne fit pas mine d'aller le saluer : elle n'en avait aucune envie. Pour elle, "Shikamasu" était synonyme d'ennuis. Entre l'un qui jouait à la racaille avec les pirates et l'autre qui se prenait pour le maître du monde, elle en avait par dessus la tête. Comme pour confirmait ses dires, alors qu'elle épiait le garçon en espérant qu'il partirait très vite, un homme louche s'approcha de lui. Le genre d'inconnu qui trainait dans les ruelles sombres. Sa vision lui permit de distinguer un imperceptible éclat argenté, lui indiquant qu'il était armé. Génial. Elle était en permission et un prince delnarien devait se faire débrouiller pour se faire piéger par un assassin de bas étage. Leika, bien qu'elle ne le voulait pas, était forcée d'intervenir. Si le frère de cet imprudent apprenait qu'elle était là et qu'elle n'avait rien fait, il la lyncherait. Pestant contre la police défaillante de l'Empire, elle attendit que le criminel, accompagné de sa jeune victime, se soit enfoncé dans une ruelle sombre pour bouger. A regret, elle laissa ses paquets et courut. A l'oeil nu, elle disparut. En un millème de seconde, elle était arrivée derrière l'assassin.

Jugeant inutile de déganer Ellesmanil pour une ordure -enfin, ordure...il s'attaquait à un Shikamasu- pareille, Leika se contenta d'y aller à la manière plus simple et plus efficace qui soit. La manière brutale. Le poing de la jeune femme l'atteignit au milieu des vertèbres, et il s'effondra. Son poignard valsa contre un mur. Sans émotion, Leika demanda laconiquement :
-Nom, âge, profession, mobile ?
-Par...don ?
-Pff... c'est pas c'que j'appelle une bonne réponse.

Dès qu'elle ne portait pas son uniforme, Leika avait tendance à s'exprimer... de manière relâchée. Un deuxième coup cueillit l'homme au thorax. Il perdit conscience avec un craquement sinistre. Leika ne prit pas la peine de vérifier s'il était mort. Elle fondit directement sur le gosse. Son regard acier étincelait de colère, et quand elle prit a parole, ce fut d'un ton moquer.
-Alors petit Lior, on se balade sans garde du corps ?

Leika s'assombrit.
-J'espère qu'on me donnera une mutation. Bref, aujourd'hui, j'veux être tranquille, alors on fait comme si rien ne s'était passé. Tu vas hors de ma vue, et je vais hors de la tienne, et chacun poursuit son chemin sans problème. Quant à lui... je le laisse moisir ici.

Elle poussa le corps du pied et, après un signe de la main, sortit à libre, sur la place. Cherchant son banc, elle le trouva...vide. Furieuse, la jeune femme se tourna vers le prince.

-C'est de ta faute, siffla-t-elle à voix basse, tu vas tout me rembourser !

Taliea n'avait pas dormi cette nuit là. Elle n'en avait aucune envie, surtout si c'est pour rêver une énième fois de sa métamorphose ou de sa mère qui l'abandonnait à Ren. Assise donc sur un lit inconfortable, vêtue d'une cape étanche que la jeune ne quittait jamais lorsqu'elle était en mission à Pandoris, Taliea attendait donc le jour. Une personne en cape la nuit, qui en plus semblait étrangère, se ferait remarquer, ou pire, attaquer, par la garde royale et les vagabonds. Plus qu'en plein jour... D'autant plus que la place était un parfait refuge ou la cyborg pouvait devenir sans problème invisible dans la foule de femmes qui essayait pitoyablement d'acquérir des objets inutiles, encombrants. Rien que de penser à ça, Taliea eut un sourire mauvais, moqueur. Depuis longtemps, elle ne s'était plus intéressée aux autres à part elle-même. Égoïste, peut être, mais c'est comme ça. La douleur de perdre une personne chère était inssuportable pour elle. La voilà donc qui se rend asociale.

Les volets sombres cachait le soleil qui montrait le bout de son nez. L'obscurité crée par cet environnement rendait Taliea tout à fait effrayante. Tellement que l'aubergiste laissa le plateau du petit déjeuner devant la porte de la chambre, ayant peur de déranger l'Alpha Renkin, qui était dans ses pensées. Ce ne fut qu'un simple grincement de plancher qui indiqua à la jeune femme un visiteur. Se levant très rapidement, elle ouvrit en silence la porte. Elle saisit le plateau de bois en un éclair et fit volte face en claquant la porte derrière elle. Taliea déjeuna en maudissant le lard bien trop salé à son goût. Après son repas, elle laissa l'assiette et tout le reste sur place. Elle ne fit pas le lit, elle n'avait pas dormi. Vérifiant que ces artifices métalliques ne soient pas visible, elle sortit sans un bruit.

La lumière tellement vive du soleil surprit Taliea. C'était une bonne surprise, mais également une mauvaise. Les rayons faisaient briller d'une éclat étincelant ces ailes qui faisaient déjà deux bosses à travers la cape. Bon. Tant pis. La missions était assez urgente, elle ne devait pas attendre. Traversant donc la place à toute allure, elle remarqua une ruelle bien sombre. S'avançant de plus en plus, elle distingua une jeune femme. Très belle, ses cheveux de feu plus doux que de la soie. Taliea n'afficha aucun sentiment lorsqu'elle reconnut Leika Mendeliev. Cette dernière, bien que énervée, restait tout de même jolie.
Un peu en arrière se tenait un jeune garçon, avec une mine hautaine. Plus petit que la Générale, il semblait carrément être dominé par la courroux de la femme. Cependant, ce gosse tenait tête, fièrement. Son allure subtile fit penser à Taliea un prince, bien qu'elle ne le reconnut pas comme tel. Affichant un rictus moqueur, tout en continuant son chemin, la cyborg finit par arriver devant ces deux personnes.

-C'est de ta faute, tu vas tout me rembourser !

Taliea porta un regard intéressée à celle qui venait de prendre la parole. Ses yeux miels, luisant dans l'obscurité de son visage, se balancèrent après vers le "prince", pour finir par se déposer brièvement vers le banc. Elle ne comprit pas la situation, mais ignora tout et s'enfonça au fond de la rue, à la rencontre du corps inerte qui gisait au sol. Elle s'accroupit, passa sa main sur la corps, fouillant les poches du tueur à la recherche de quelque chose. Ce quelque chose piqua sa main, laissant échapper une goutte de sang. Comme si elle ne ressentait pas la douleur, Taliea sortit le poignard de mauvaise facture. Un peu dégoûtée par cette trouvaille inutile, l'Alpha Renkin reporta son intérêt sur les deux jeunes gens, comme si c'était un spectacle. Mais, à ce spectacle, Taliea participa, car, la mine lugubre, elle prit la parole:

-Que fait la Générale en personne dans un ruelle lugubre...?

Son visage, caché jusqu'alors, se dévoila. La cascade de cheveux roses coula sur son épaule droite, et ses deux appareils fixés sur la tête apparut. La moue ennuyée de Taliea prit un sourire faussement chaleureux. C'était la première fois qu'elle voyait Mendeliev. Apparemment, sa mission allait être plus simple que Taliea ne l'avait imaginé. Sa cible, la Générale Mendeliev, se tenait devant la cyborg.

Lior assista à l’arrivée du général avec une joie assez modéré. Il était certes en très mauvaise posture mais il aurait put essayez de s’en sortir et réussir avec un peu de chance. Il ne répondit pas à la pique que la jeune femme, réfléchissant à comment réagir face à l’attitude de celle-ci. Il savait que sa sauveuse ne l’appréciait sûrement pas mais que surtout son frère et elle se détestaient. Il préférait donc éviter de se mettre à dos. Il n’eut pas le temps de répondre quoique soit à la remarque juste de celle-ci car elle ne lui en laissa pas le temps.

Il la vit lui hurlait de le rembourser pour les objet qu’elle avait dut acheter. Un certain agacement éclaira les yeux de l’enfant, bien sur qu’il allait la rembourse puisqu’elle venait de le sauver. En prenant un air sérieux, il réfléchissait à la réponse la plus courtoise tout en incluant qu’il n’avait pas la somme sur lui qui pouvait lui venir et il la lui dit.

- Bien sur, Général. Je ne possède hélas pas la somme sur moi. Venez me voir dès que possible dans mes appartements et je vous le donnerais. Je vous remercie d’ailleurs de m’avoir sortit de la situation où j’étais et …

Le petit prince ne put rien dire de plus car une jeune fille suivit de son loup qui grognait de manière douce pour ne se faire comprendre que par lui pour le danger. Il observa l’inconnue en fronçant les sourcils certains éclats et les bosses sous sa cape lui faisait penser au cyborg. Il écouta la remarque de celle-ci et devança sa sauveuse en terme de paroles.

- Elle fait ce que tout général doit faire. Et quand on pose une questions je pense que le mieux et de se présenter soi-même. Sur ceux, je vous laisse mesdames et vous souhaitent une bonne journée.

L’adolescent se dégagea et laissant son loup en place sortit de la rue sombre en apparence tranquillement en réalité et tout en le cachant au deux autres il activait au fur et à mesure un sort pour se fondre dans le mur. Ce qu’il fit immédiatement après avoir quitté les champs de visions de deux jeunes filles. Son piège pour le tueur était toujours actifs, il pouvait intervenir à tout moment…

Les bras croisés, Leika attendit la réponse de Lior. Celle-ci ne se faisait pas attendre. Contrairement à ce qu'elle imaginait d'un Shikamasu, il n'eut pas une attitude snob et lui promit de la rembourser. Il fallait juste qu'elle passe dans ses appartements. Aussi, il la remercia. Leika se radoucit, sans pour autant l'afficher. Tous les nobles n'étaient pas prétentieux. Soudain, il s'interrompit. La Générale tenta d'en deviner la raison. Il paraissait avoir vu quelque chose d'anormal.

Précisément, il s'agissait d'une jeune fille, qui s'avançait vers eux pas très discrètement. Ses traits étaient dissimulés sous un capuchon noir. Quelques bosses laissaient indiquer qu'elle cachait autre chose en dessous. Les yeux de Leika se plissèrent. Des armes ? Des membres ? Il avait une grande possibilité qu'elle soit un Anketnu. Pour en avoir cotôyé pendant des années, elle les reconnaissait aisément. Mais pourquoi ne se montrait-elle pas ? Elle les dépassa et palpa le cadavre, pour finalement trouver un poignard. Leika eut une moue ironique. Ce devait être un de ces pauvres hères, un soldat peut-être, qui ne gagnant pas suffisamment assez, en était réduit à fouiller les cadavres pour survivre. L'Empire dans toute sa splendeur. Elle avait essayé de les aider, en vain. Elle n'avait pas suffisament d'influence pour.
Cependant, Leika ne s'arrêta pas à cette version. Quoi qu'il arrive, elle restait toujours sur ses gardes. Il n'y avait pas de place pour la pitié.
Elle ne lâcha pas la jeune femme des yeux. Etonnament, elle finit par lui adresser la parole, en dévoilant son visage, mécanisé en haut.
-Que fait la Générale en personne dans un ruelle lugubre...?

Leika se raidit. L'Anketnu connaissait son rang. Bon, en même temps, tout le monde connaissait son rang, sur Ynara. Surtout depuis qu'elle avait été élue personnalité préférée des Ynariens. Cette célébrité l'horripilait.
Mais d'habitude, personne n'osait lui parlait aussi effrontément. Elle s'apprêta à répliquer, mais Shikamasu Junior le fit à sa place. Il n'avait pas la langue dans sa poche, le gamin.
- Elle fait ce que tout général doit faire. Et quand on pose une questions je pense que le mieux et de se présenter soi-même. Sur ceux, je vous laisse mesdames et vous souhaitent une bonne journée.

Une vague d'exaspération saisit la Générale. Il venait d'être victime d'une tentative d'assassinat, et tout ce qu'il trouvait de mieux à faire, c'était de repartir tranquillement ! Elle ne comptait pas le laisser faire, mais le problème de cette jeune femme suspecte se posait. Ses airs relâchés avait disparu. Hautaine et dure, la Générale avait repris son masque. Cela se ressentit sur sa voix, qui interpella le jeune garçon qui partait, sans aucun souci. Tout en parlant, elle fixait l'inconnue de son regard d'acier, guettant le moindre mouvement hostile.
-Rentre vite au palais, où je serais forcée de mettre Kuro au courant.
Ah, et si tu venais à mourir, cela ne relève pas de ma responsabilité.

Voilà qui était fait. Leika reporta entièrement son attention sur ce qui venait perturber sa journée de détente. Son sourire chaleureux ne la leurrait pas, et elle n'y répondit pas.
- Je vois que tu ne sais pas certaines choses. Très bien, je vais t'en informer. Tout d'abord, tu n'as aucun droit à me poser des questions. Seulement celui de répondre aux miennes. Ensuite, tu ne peux juger ce que je fais, car cela ne te regarder pas. Pour finir, tant que tu n'auras pas précisé ton identité et ce que tu me veux, tu as autant de valeur pour moi que lui -elle désigna le corps-.
Et... je ne tiens pas à me battre.

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